Je ne suis pas religieuse. Cependant, je suis spirituelle et une chose que je trouve extrêmement intéressant dans la religion est l’ensemble des valeurs qu’elle transmet.
Loin de moi l’idée de dire qu’être religieux est bien ou mal - cela ne me regarde pas du tout - c’est quelque chose de très personnel.
Ce que je souhaite partager est une phrase entendue de la bouche d’une personne religieuse la semaine passée : “Je crois parce que je veux croire”. Vous sentez la puissance de ces propos ? Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de croire, d’être optimiste. Tout est possible donc qui peut dire si quelqu’un doit ou ne doit pas croire ? La limite entre la foi et se voiler la face n’est pas simple à tracer, mais qui la définit ?
Une amie me racontait, après avoir traversé nombre d’épreuves de santé de famille, que ce qui l’avait maintenue forte était la foi et qu’on lui faisait une piqûre de rappel chaque fois qu’elle allait à l’Eglise. Elle se focalisait simplement sur la lumière au bout du tunnel.
Alors qu’elle prononçait ces mots, je me suis dit que c’était complètement injuste qu’elle puisse être aussi forte simplement en “croyant” et que j’avais tellement de mal à traverser des épreuves beaucoup moins douloureuses. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de me créer mon propre ensemble de valeurs, ma propre religion.
C’est ce que m’a rappelé cette phrase entendue l’autre jour, “je crois parce que je veux croire”. On est fort psychologiquement parce qu’on choisit de l’être, parce qu’on choisit de croire, d’avancer et d’être heureuse.
Sans plus attendre, voici ma recette de wrap veggie à la menthe :